nihil obstat

comment percevoir ton silence comme amical? je serais génial avec un peu de discipline puis le désir de plaire puis le souci de peser au moins de quelque influence sur notre monde muti-décadent dans l’effort mais que je sais dérisoire d’infléchir sa course et c’est ça le problème le nihilisme et c’est ça le ver dans mon fruit la connaissance du nihilisme alors le sens d’être humain et le sens d’être-au-monde est comme le bourdon un mal de tête pour la plupart il ne faut pas penser à ces choses et heureux ceux qui n’accèdent pas à ce niveau d’abstraction et de compréhension et ne possèdent pas la culture critique nécessaire pour même percevoir le problème pour les très rares autres la conscience est malheureuse pour la masse le malheur est latent mais pas dans les nuages inconscients et dans leurs cauchemars d’où les multiples fuites et addictions

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flow

merci dieu tu m’as rappelé que je n’ai pas été assez généreux cette année de retour de ce marché d’alimentation où je suis allé avec un charriot pour profiter à plein ou presque des super spéciaux et faire des provisions je me rends compte que j’ai échappé quelque part dans ce chemin un des deux jambons fumés que j’avais acheté et la consultation de la liste d’épicerie me confirme que j’ai payé pour les deux jambons alors je réalise avec plaisir quand même finalement après la première frustration qu’une forme de vie humaine ou non va probablement profiter de ce jambon qui est tombé sur la neige ou le trottoir dégagé et va le consommer pour renforcer sa vie propre merci mon dieu de me rendre par des moyens pervers généreux

oh! female female female! female everywhere with breast and waist and legs and oh so everything aspects that used to make me mad but nowadays I have changed but now I can keep my cool

ooh! woman woman? am I same species? many questions there that couldn’t be seen by so many other ordinary males I doubt I expect I wonder I see many aspects and emotions whirloops maelström

des seins des seins des seins! les femmes ont des seins dont je ne sais que faire! longtemps j’ai affecté de ne pas faire attention aux seins des femmes c’est que je suis fier et indépendant et que ma mère ne m’a pas allaité quand j’étais trop petit pour m’en souvenir alors pour me reprendre je me prétendais un « ass man » un homme intéressé essentiellement par le sexe féminin par le désir de leur procurer du plaisir par les caresses concentrées sur les zones stratégiques obsessivement mais… mais quel orgueil quelle fierté n’importe quelle femme peux prétendre à une très puissante présence par la prestance de ses seins et c’est facile pour commencer juste inspecter les silhouettes  la silhouette féminine de l’espèce est le plus puissant stimulus la grande  image comptant comme promesse d’avenirs

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lisant « Le dit du Genji »

Plages de Temps

plaisir immobile

la pluie des lettres

verse dans l’Océan du Sens

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retour

ivre à vélo de retour tard chez moi
maintenant même la lune est couchée

vue sur mon balcon glissant sur l’horizon
un regard en coin, brun et triste

demi-lune esseulée, rongée de regrets

de soucis, résignés

(vers 2h00 dans la nuit de jeudi 12 à vendredi 13mai)

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Un champion de vérité

(Extrait du « Journal interruptif »)

Vendredi, le 22 avril 2011.

Un champion de la vérité. Ici, chez Benson, dans le matin ensoleillé, il m’a été donné un rêve qui pourrait donner lieu à une nouvelle intéressante. Il connecte l’élément diurne d’hier soir, ici, de retour du centre-ville, où je me faisais la remarque qu’il y a une logique rigoureuse qui s’applique aux échecs, et que l’on y peut donc trouver quelque vérité, avec, plus tard en fin de soirée où le vin aidant au restaurant avec Ben je pérorai gaiement… me faisant après coup l’effet, plutôt honteusement, d’un champion de la vérité. Le titre lui-même m’a été donné dans le même rêve, à la fin dans la section semi réfléchie. Mais cela donnerait lieu à une nouvelle austère. Je me demande si je trouverais le style, sans parler de l’énergie, de l’écrire.

Avant de trouver le sommeil cette nuit-là, dans mes rêveries littéraires je me disais que Musil avait tenté et presque complètement réussi le roman du siècle avec son Der Mann ohne Eigenschaften. « Sans qualité », la traduction française du titre, pourtant exacte au sens de la traduction littérale, laisse une impression péjorative, de grossièreté, démission ou abandon. Mais c’est qualité au sens de propriété (d’un matériau), ou de caractéristique précise (d’un être, situé). Il  faut chercher plutôt dans le sens d’un détachement des déterminations sociales habituelles, donc un état intéressant de disponibilité propice aux expérimentations un peu hors limites, en dehors des sentiers battus en tout cas. Si je me décidais enfin à produire une œuvre, je voudrais que celle-ci soit dans la continuité de ce genre de problématique.

Ici il fait un tellement beau soleil en après-midi que je suis tenté de jouer à la plante verte plutôt que de faire mon lavage. Je sens que la pratique du Tai Chi peut m’aider un peu mais mon état général de santé est tout de même passablement détérioré, avec ankyloses, baisse du niveau d’énergie un peu partout et mains engourdies, pieds et jambes des fois élançant de chaleurs internes (faux yang). Je ne peux pourtant pas me plaindre de la trajectoire de vie que j’ai eue. J’arrive à un point d’équilibre, un plateau intéressant peut-être avant la grande descente. Si j’avais eu plus d’amour j’aurais peut-être simplement brûlé plus vite, ou cassé sous la pression, encore, à l’usage, aux prises avec des défis ne correspondant pas à mes forces. Siècle paroxystique d’où je viens et où il fallait être un peu « drop out »  pour survivre.

La Voie ?  Cette phrase sonne encore mieux en anglais. « Il n’y a pas de voie vers le bonheur, le bonheur est la voie. » (There is no way to happiness, happiness is the way.) «Jusqu’où suivre la voie ? Dans beaucoup de cas, comme dans le mien, cela sera : « Trop peu, trop tard »… Sinon vérifiable, on comprend comme logiquement nécessaire la croyance en la réincarnation. On commence à peine à réaliser quelque chose en une vie, quand celle-ci est raisonnablement bien menée. Alors pour gagner, progresser, avancer vraiment dans le domaine spirituel, transcender les limites de la bête humaine, il faudrait plusieurs vies. Il y a, probablement, plusieurs vies, mais pas nécessairement pour un. Juste pour un, je veux dire : pour un même. Il y a nécessairement plusieurs vies, myriades, mais qui se nourrissent en quelques sortes, les unes-les autres. Les unes des autres…

prédation, inimitiés, passions, conflits, contradiction… la montagne : gagner un point de vue élevé, au-dessus de la mêlée, sens, vision du tout.

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bienvenue dans l’univers pré-postapocalyptique

bienvenue dans le monde pré-postapocalyptique

Bienvenue dans le monde de Dick !  Ici nous prenons sa défense.  L’univers de la science-fiction a été souvent appelé anticipation.  Les Anglais ont parlé souvent de « spéculative fiction », mais cela n’est pas suffisant pour nommer cette fonction de vision avancée de ce qui pourrait ‘nous’ menacer. Prophétie? Avertissement, pour nous sensibiliser? nous prémunir? Je crois que la meilleure science-fiction est travaillée par une inquiétude de l’avenir.

Puis nous réalisons que notre espèce évolue presque toujours sur une ligne de la crise maximale. Quand on regarde jusque dans le lointain passé on dirait que l’humanité, ce qui allait devenir l’humanité enfin, telle que nous la connaissons, a presque toujours été en danger et menacée d’extinction assez souvent.

C’est à un tel point que  beaucoup font appel à l’intervention d’une providence pour expliquer cette improbable survie 1) à partir des conditions extrêmes du continent hypothétiquement originaire, climats et faunes de l’Afrique[1], encore aujourd’hui associée aux maladies, aux insectes. 2) Dans la très précaire adaptation aux conditions climatiques changeantes, aussi, notamment les glaciations qui gelèrent sévèrement sous une épaisse chape de glace toute l’Europe et le nord de l’Asie.

La catastrophe n’a pas encore eu lieu, mais nous en savons assez maintenant pour voir que cela n’est qu’une question de temps. Nous savons aujourd’hui que nous sommes l’espèce catastrophiste, portée sur les extrêmes, sinon tout simplement l’espèce catastrophique. Et nous avons appris à déployer tant de puissance que nous savons aussi quelques aspects au moins de cette situation nouvelles : que plusieurs de ces catastrophes qui nous menacent sont le résultat de notre propre fait.

Il ne nous est plus permis de nous y tromper : les changements climatiques en cours auront des effets spectaculaires et c’est déjà commencé, nous ne parlons pas d‘un distant avenir. Ils vont forcer une adaptation, des changements radicaux dans nos sociétés. Difficile de prévoir le long terme alors que nous voyons déjà que le court terme recèle une succession de catastrophes d’intensité croissante qui vont nous poser des problèmes toujours plus aigus, et poser des défis de plus en plus insurmontables. On peut légitimement s’inquiéter : comment saurons-nous nous montrer à la hauteur ?

Dans cette situation qui m’apparaît des plus réalistes, bien sûr la littérature peut continuer de jouer son rôle de sédatif dans la cohorte des divertissements, mais je vois qu’elle est porteuse aussi d’une possibilité  informative, émancipatrice peut-être, en cherchant à prévenir les menaces.

On dit que tous les goûts sont dans la nature et on défend leur diversité d’intérêts chez les lecteurs. Je veux bien respecter le « pluralisme », mais je préfère choisir mon camp, prendre parti et défendre la pertinence plus grande, à mon sens, d’une science-fiction élucidante, nous permettant de faire face aux devenirs.

La question de Dick, finalement, porte sur un problème de perception. Si vous croyez pas qu’il y a sérieusement quelque chose qui cloche avec le réel, eh bien… tant mieux pour vous. Vous n’avez pas besoin de Dick. Vous êtes des personnes tellement équilibrées et en harmonie avec le présent que je vous concède le choix de ne pas apprécier sa prose.

Et en plus, vous n’avez absolument pas besoin de savoir ce que moi j’en pense… Mais je vais le dire quand même. Moi je pense que ceux qui pensent qu’il n’y a rien qui cloche, sérieusement, avec notre réel, bien là…  Je crois qu’ils ont tort. Sont-ils de mauvaise foi, ont-ils peur pour se cacher ainsi la tête dans le sable ?  Je ne sais. Faudrait voir pour chaque cas.

Que ferons-nous quand les catastrophes locales seront assez intensifiées pour constituer une grande catastrophe globale ?  Je pense que chacun, aujourd’hui, doit se poser ce genre de question.


[1] À noter que la science chinoise n’est pas d’accord avec cette théorie de l’Afrique, berceau commun de toute l’humanité et des savants Chinois proposent à tout le moins l’alternative d’une double origine, sinon principalement asiatique… C’est un des problèmes qui se pose avec les Chinois: ils sont convaincus de former la principale version de l’humanité. Aux autres de prouver leurs mérites…

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équinoxe

Je voulais écrire sur la situation sentie, la vibration spéciale au moment de l’équinoxe mais je ne la sens pas tellement bien, je ne me sens pas spécialement bien. Ce printemps est truqué. Je ne sais pas trop quoi dire… L’amour est mélangé, la solitude et le désamour, la séparation en tout cas, l’isolement domine. Puis il me semble que les équinoxes, sauf dans les moments d’effervescence, m’inspirent moins que les extrêmes que sont les solstices. L’équinoxe n’est qu’un bref moment d’équilibre, tout de suite vaincu, une simple transitions sans résistance dans l’ajustement des forces entre les forces de Nuit et celles du Jour. Les solstices me semblent des moments de plus de conséquences puisqu’ils sont le moment du retournement de la tendance, là où la force était allé au plus loin qu’elle pouvait et doit revenir vers le centre, au risque de détruire le domaine de l’équilibre, notre continuum espace-temps, accoutumé pour la suite de toutes nos expériences. Tant que je suis en vie je me souciereai des solstices…

Je ne sais pas quoi dire alors je me contente de broder sur le thème…

Merveilleuse planète. Foisonnement culturel. Luxuriance tropicale. Rigueurs et folies nordiques. Objets distingués. Les glaçons bien rangés dans leur moule au frigidaire. Mais chaque danger qui communique. Les peurs sont contagieuses. Manie fanatique. Paranoïa critique. Psychose ludique, ou tragique. Grave légèreté. Il y a de la sagesse même dans certaines extravagances. Coup de point didactique, jambette prophylactique.

Les grandes cultures asiatiques, celles de la Chine et du Japon, demeurent énigmatiques. On ne peut pas les simplifier en quelques traits. L’antiquité de la Chine, la réactivité énergique du Japon créèrent des univers complexes qui résistent à l’analyse, à la curiosité des penseurs et enquêteurs occidentaux. Se dégage cependant l’idée partout présente de l’acceptation hiérarchique : le besoin ressenti par pratiquement tous les individus de faire partie d’un groupe fortement structuré, comme la famille, le clan, le réseau d’amis ou d’affaires (guanxi) tout cela un peu emmêlé scellé par des plaisirs pris en commun, dans les bars ou restaurant, au bordel pour les mâles, souvent, consolidées pas les faveurs, les pots-de-vin. Fraternité (ou sororité, quelque forme de solidarité féminine, plus ou moins embryonnaire, parce que les femmes sont encore en position dominée dans ces cultures, elles s’appuient sur des prérogatives équivoques), brigade, nation, pays, empire… Chacun y trouve sa place, comme un élément de l’ensemble et y oeuvre diligemment. Rares sont les individus, même si la solidarité est un peu forcée, pas toujours enthousiaste mais prenante tout de même, adhésion quasi-spontanée en tout cas au-dessous du niveau conscient. Car on se méfie des solitaires, rarement auront-il la force de se constituer en souveraineté et celle-ci doit demeurer secrète. L’individu solitaire est forcément perçu comme un énergumène qui prétend faiblement opposer son indépendance, théorie, face à la puissance pratique, matérielle des groupes constitués.

Pour chacun l’ennemi est un maître s’il n’est pas mortel. La peur début de la sagesse ?  Il faut être comme moi vachement insouciant pour oser même en douter !  Mais il est mortel en cet autre sens, ontologique, tout comme toi, mon frère.

Merveilleuse planète. Nous n’en avons pas d’autres. Enfoncés dans la mémoire, nous avons entrevu d’autres avenirs. Mais lourdement responsables du présent, empêtrés dans cette déconfiture, nous ne voyons plus le chemin. L’individu ne peut rien, à moins d’être puissamment créatif, créateur. Mais quel groupe pourra nous sauver ?  Il faut l’esprit, et pas seulement de corps, résolument constructif. Comment peut-il cohabiter avec la lucidité sans faille, toute autant nécessaire ?

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dans les entrailles du monde — « wù »

Naissance ? … constrictions.   — Éveils ?

 

À force d’habiter

dans une vallée de larmes

aux soleils riants

des années durant

peines joies et chants

enchaînant leurs charmes

tour à tour sobre et délirant

j’acquiers la sensation

de multiples résonances

dans les entrailles du monde

 

Aimer c’est le choix

c’est le risque

c’est la fatalité qui tombe

 

C’est vivre pour vrai

toutes tripes dehors

l’intensité du moment

« wù »

Voyez-vous les ombres

profilées sur les rochers

au moment de l’éclair?

 

ouverte ou fermée

la porte à l’entrée

de la caverne?

 

pouvez-vous sortir

voir le soleil

éclairer la vallée?

 

l’intérieur en paix

accueille désormais

le tumulte du monde

 

avez-vous du « wù » ?

Voyez-vous le « wù » ?

 

L’homme sans amour est une bête blessée

un danger pour lui-même

avant d’être pour les autres

 

vivre sans amour

est comme un long tunnel

la grisaille, les limbes

 

il vaut mille fois mieux

du vin boire la coupe amère

et mourir au soleil

 

les poètes tentent

d’exorciser vos démons

avant qu’ils ne vous sautent…

—   à la face !

@ Lhisbei : « le pauvre » vous salue , bien bas le hukou , à vos pieds

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Au matin — la barre du Jour

Sous la chape bleue

une frange claire

nimbe l’horizon

 

une cheminée élancée

contribue au plomb

de ses volutes tacites

 

le ciel pèse de tout son poids

en monstrueux phylactère

sombre discours muet

 

interprétations                —          personne n’empêche

les poètes le guettent     —          l’éclairage du Jour

qualités de lumière         —          elles diverses, changeantes

 

La Vérité est Une

les points de vues multiples

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repos

Rien de bien tragique. Une baisse de régime… pas d’énergie. C’est le même Jacques, transvasé tel quel dans la nouvelle année. Ce découpage du temps est arbitraire. Je suis sur le dos après un déménagement éprouvant (mal au dos d’ailleurs, mais quelque fois c’est parce que je demeure trop volontiers et trop longtemps au lit) et je subis une perte de confiance, un étourdissement, un peu de laisser-aller après les quelques libations qui sont de saison. Je me suis recouché en après-midi. Elle devient moins grave l’âge venant, peut-être, moins aiguë et fréquente en tout cas, mais la misère sexuelle aussi fait sentir ses effets.

Le temps arrive trop vite aussi. Pfuit! nous y sommes! C’est comme si je n’avais pas eu le temps de méditer sur la transformation. J’ai pensé que je voulais devenir un sage taoïste! Imaginez! je suis loin du compte… Mais je suis le même et je m’attaque à des tendances lourdes de ma personnalité, mes principaux défauts. La paresse et l’indolence. Mais j’ai des choses à faire et tous les problèmes ne sont pas réglés! Je ne suis pas organisé.

Mais je sais qu’il ne sert à rien de me mettre trop de pression. Et il faut que je me choisisse des objectifs modestes, échelonnés dans le temps en commençant par le court-terme, et puis je dois être en mesure de la atteindre parce que c’est d’abord sur de petites victoires que l’on construit les grande.

La santé est la priorité première. Il faut regagner des habilités motrices, tonus et force musculaire, continuer de perdre du poids pour désankyloser les mains, ne plus subir ces bouffées de chaleur… Pour cela il faut mettre sur pieds un programme d’exercices réguliers. Puis, au deuxième rang, je voudrais bien travailler mieux l’écriture que j’aime. Si elle pouvait changer ma vie cela serait encore mieux !

Troisièmement il y a ces efforts que je dois, que je veux consentir pour me rapprocher de mon amour. Ce troisième mouvement est dans la continuité directe des deux premiers. Mais pour tout de suite il ne sert à rien de mettre la pression et de culpabiliser. Conscience méditative, calme, retour à la lucidité sont prérequis.

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